Honnêtement BSI vous n’avez Encore rien achèté, et que vous avez vraiment le projet de batterie directement, alors oubliez les micro onduleur, partez directement en DC.
Ça vous reviendra déjà moins cher
Vous aurez moins de perte
Vous n’aurez qu’une seule interface victron sur laquelle vous aurez l’ensemble des données.
J’ai commencé en micro onduleur, et maintenant, je vois la limite de ce système en voulant augmenter mon parcours solaire et une batterie
c’est tellement vrai !
je n’arrive pas a comprendre ce gros engouement pour les micros onduleurs alors que c’est tellement plus simple avec du mppt !
en plus niveau perf , on le voit clairement sur les monitoring, il y a un net avantage au mppt !!!
Alors j’ai ma petite idée 
Si on a que des MPPT et que l’on a un besoin de charge constante AC de mon point de vue les MO ce n’est pas idiot car aucune conversion le MO fait tout et c’est moins cher qu’un type “Fronius” mais moins gérable on est d’accord.
En ce qui concerne l’installation c’est du Légo, ce qui est encore un avantage…
En cas de panne, pas besoin de grand spécialiste, on dégage le MO HS et on le remplace.
Chaque PV peut avoir son MO et donc moins de shadows banning…
De mon point de vue, le top c’est d’avoir un mix du MPPT et du MO “pilotable” ou type “Fronius”, maintenant ce n’est que mon opinion
alors si tu as besoin majoritairement de conso direct alors t’as pas forcement besoin de batterie et dans ce cas je préfère largement un onduleur centrale car plus simple a changer, en plus de 15 ans d’installation je n’ai eu que très rarement (2 cas de mémoire) des probleme sur des onduleurs centraux que j’ai posé.
donc globalement le tx de sav est plus faible sur de l’onduleur central que sur du mo et ça je pense avoir mon idée. la majorité des mo sont surchargé, et bien que je suis persuadé que ça n’a pas d’importance a Marseille, l’impact n’est pas négligeable dans les alpes car on écrête beaucoup plus et avec les mo sous la toiture, on degrade le rendement global et on fragilise les composants!
tous les onduleur centraux que j’ai changé (sauf mes deux cas) étaient des onduleurs centraux surchargé, et ça effectivement j’en ai changé pas mal !
toutes façon a faible charge le multiplus étant allumé autant s’en servir car se qu’on voit clairement sur les courbe c’est que le mppt démarre et ce coupe bien plus tôt et plus tard qu’un onduleur réseau ou un mo !
et niveau simplicité il n’y a pas photo, un onduleur ou un mo est fait pour balancer pleine puissance, qu’on essaye de réguler ça complique beaucoup la chose (modbus ou frequency shift).
depuis 2016 ou 2017 quand les mppt puissant sont sortis, les installateurs qui étaient comme moi sont tous passé au mppt et on laissé tombé l’onduleur réseau (pas les mo car ils n’en posaient pas 
) et c’est encore plus vrai avec le mppt rs.
pour les pb d’ombrage, c’est un faut debat, il y avait une superbe vidéo qui expliquait le fonctionnement d’un panneau et des bypass et le fonctionnement des mo, résultat ça confirmait ce qu’on voit sur le terrain, le mo n’est pas plus performant que l’onduleur central il peut même l’etre moins !
le seul avantage au mo c’est si tu peut pas faire des string de plusieurs panneau mais dans ce cas par rapport au batterie la question ne se pose pas, t’aura pas beaucoup de surplus a envoyer dans des batteries.
la conclusion de tous ça est très simple, plus l’installation est simple mieux c’est donc un convertisseur/chargeur, et une gestion des panneaux en dc ça reste le plus simple !!
Je ne peux que partager ton point de vue, étant attirée par ces technologies.
Mais force est de constater, comme tu l’as souligné, qu’il y a bel et bien un engouement pour ces MO, d’où ma tentative d’explication
c’est surtout que les commerciaux d’enphase en 2011 ont très bien fait leur boulo
bonjour,
je n ai pas compris la subtilité entre le multiplus 2 de 8kVA et 5kVA.
d un côte le parc m.o se limite à 4kWc et de l autre 7kWc…8/4… 5/7?
Il y a quelques imprécisions dans mes propos.
Pour le raccordement Enedis (ou autre), il y a des règles notamment l’article R314-1, 9°.
9° " Puissance installée " : sauf mention différente prévue dans les arrêtés pris en application de l’article R. 314-12, somme des puissances électriques unitaires maximales des machines électrogènes appartenant à une filière de production et susceptibles de fonctionner simultanément sur une même installation. Les dispositifs de stockage ne sont pas considérés comme des machines électrogènes pour le calcul de la puissance installée.
Il y a une règle qui stipule qu’il est interdit d’injecter plus de 6kVA par phase en résidentiel. Donc, 6kVA en monophasé et 18kVA en triphasé. De plus, la puissance installée ne peut dépasser la puissance de raccordement, 12kVA en monophasé et 36kVA en triphasé.
Le dispositif de stockage qui est pourtant une machine électrogène ne compte pas pour le calcul de puissance installée sauf s’il y a un système de production qui y est raccordé (MPPT). Dans ce cas, faut-il compter la puissance PV, celle du régulateur ou celle du convertisseur ?
Je ne sais pas si Enedis a déjà refusé des installations car elles sont trop puissantes. Toutefois, il me semble avoir entendu qu’Enedis a déjà contraint des propriétaires à passer en triphasé pour être conforme. Jolie facture à la clé.
Ce sont des règles et risques à connaître avant de demander la mise en production d’une installation.
excellent.
merci beaucoup .
c’est interdit sauf cas spécifique d’injecter plus de 6kVA en mono mais pas en tri, on peut bien monté a 36 kVA
j’ai quelque cas d’injection de 12kVA en mono car l’abonnement était en mono 15kVA
en fait c’est lors de la demande de raccordement qu’ils étudient le pdl et en fonction, soit ils refusent le raccordement soit ils l’accordent avec éventuellement des travaux de mise a niveau au frais du demandeur bien sur !